Les amphores en Gaule, vol. 2, 1998, p. Manche : après une fouille en prison, un détenu met le feu à sa cellule | La Presse de la Manche. 91-105 Les amphores à Strasbourg Fouilles récentes du tramway (Homme de fer) et de la rue Hannong Juliette Baudoux * En plein cœur de la ville actuelle de Strasbourg (fig. 1) (1), deux fouilles importantes dirigées en 1992 et 1993, par Jean Jacques Schwien sur le tracé du futur tramway, dans la zone de l'Homme de Fer (Schwein 1994) (2) et par Gertrud Kiihnle sur le site de la rue Hannong (Kiihnle 1994), à l'occasion d'une opération immobilière (3), ont permis de mieux connaître un ensemble de quartiers de l'agglomération civile qui s'étaient développés, à l'époque romaine, à la périphérie immédiate du camp militaire (4). Les différents secteurs d'habitats, plus ou moins denses et constitués essentiellement de structures légères (maisons traditionnelles en bois, torchis et socle de pierre), ont livré un abondant mobilier inventorié de façon systématique. Les deux sites se complètent chronologiquement et couvrent l'ensemble de la période romaine. Pour la première fois à Strasbourg, les amphores ont donné lieu à un comptage précis et leur part a pu être évaluée par rapport aux autres types de céramiques (5).
Il n'a jamais fait parler de lui. Ce sont des faits dommageables si près de sa sortie. » La photo de sa copine arrachée À la barre du tribunal, le détenu a dit regretter son « coup de sang », reconnaissant au passage fumer deux joints par jour en détention. Quand je suis revenu dans ma cellule après la fouille, la photo de ma copine avait été arrachée du mur et du linge propre se trouvait par terre. La cellule était sens dessus dessous. J'estime qu'on m'a manqué de respect. Je reconnais toutefois avoir été excessif dans mes gestes. L'homme a finalement été condamné à une peine de douze mois, dont quatre mois assortis d'un sursis probatoire de deux ans, avec obligation de suivre une formation, de se soigner et d'indemniser l'administration pour les dégâts causés. Il a été maintenu en détention. L'homme de Tautavel, chasseur de la Préhistoire | Musée d'Archéologie nationale. Cet article vous a été utile? Sachez que vous pouvez suivre La Presse de la Manche dans l'espace Mon Actu. En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l'actualité de vos villes et marques favorites.
6 Si les résultats sont encore fragmentaires, le développement de cette recherche en Limousin est attesté depuis 1970 par les fouilles d'une dizaine de sites dont certaines sont en cours et dont la documentation matérielle alimente la réflexion. Citons‑en les étapes principales: si au Bois‑du‑Mont des sondages de surface avaient mis en évidence des silos, il ne fut toutefois pas réalisé de recherche systématique des structures externes, l'objectif premier étant la fouille du souterrain. Dès 1974, à Jueux (Azerables, Creuse), un décapage d'une centaine de m 2 au voisinage d'une cavité aménagée permettait la mise au jour de deux groupes de silos dont plusieurs avaient été détruits en partie par la création du souterrain (fouille P. Rousseau et al. Homme de fouilles 11 lettres. ). En 1980‑1981 le site de Beaulieu (Pensol, Haute‑Vienne) révélait, après un décapage d'environ 200 m 2, des trous de poteaux, des fosses au contact d'un souterrain (fouille P. Conte et F. Gauthier). Depuis 1980 la fouille programmée de l'habitat du Trou‑au‑Fées livre, dans une période chronologique probablement inférieure à deux siècles, des constructions équipées de silos remaniées et fossilisées par des aménagements postérieurs.
785cq.vip, 2024