Comme les caméras en circuit fermé n'existaient pas encore dans les années 1940, le récit indique que les chercheurs ont dû utiliser des microphones et de petites fenêtres pour observer ce qui se passait avec les sujets de l'expérience. Bien qu'au début, tout semblait aller bien, les participants ont fini par perdre progressivement la raison; et peu de temps après, la vie. L'histoire de l'expérience russe du sommeil est devenue l'une des légendes urbaines les plus répandues dans le monde. Bien que cela ne soit pas basé sur des événements réels, de nombreuses personnes ont cru à un moment donné à sa véracité. En raison de sa popularité, des romans et des films basés sur lui ont été publiés. Histoire dans les réseaux sociaux L'histoire connue sous le nom de "Orange Soda", et plus tard sous le nom de "l'expérience du sommeil russe", est apparue pour la première fois sur un site Web appelé "Creepypasta". Ce portail est dédié aux histoires fictives destinées à mettre les lecteurs mal à l'aise.
La soi-disant expérience russe de sommeil n'a jamais eu lieu, bien que d'autres expériences effrayantes aient eu lieu. En fait, aucune expérience humaine du type et de la durée décrits ci-dessus n'a jamais été menée (aucune, du moins, rendue publique), bien que nous ayons les résultats d'un projet de foire scientifique de 1964 dans une école secondaire dans lequel les effets Les cas de privation de sommeil prolongée ont été surveillés par un chercheur de bonne foi sur le sommeil de l'Université de Stanford et un professeur de médecine neuropsychiatrique. Par défaut, il est devenu l'une des études fondamentales dans le domaine. Le record du monde est de 11 jours sans sommeil Randy Gardner, élève du lycée Point Loma High School à San Diego, en Californie, a passé 11 jours sans sommeil dans le cadre de sa candidature au Guinness World Record pour une veille continue. Au cours de ses 264 heures d'expérience, il a souffert de vertiges, de troubles de la parole, de troubles de la parole, d'hallucinations et même de paranoïa.
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À partir du 7e jour, Randy a commencé à remarquer beaucoup de choses maux de tête et perte de mémoire. L'Université a constaté que ses capacités cognitives étaient gravement altérées et que sa santé était gravement menacée. L'étudiant a tenu jusqu'au 11 pour tenter d'entrer dans le livre Guinness des records bien que plus tard, ce serait dépassé par un Australien qui a duré 17 jours. Heureusement, ces types de prouesses jouant avec le sommeil ne sont plus autorisés. Que t'arriverait-il si tu ne dormais jamais Ce qui est autorisé, ce sont les expériences animales pour tester les effets de la privation de sommeil sur le cerveau. Et une équipe du Université polytechnique des Marches en Italie, Il l'a fait avec des rongeurs. Le conclusions de cette étude ils nous donnent une idée de ce qui se passerait si nous ne dormions jamais ou de ce qui se passerait lorsque nous restions sans sommeil pendant une longue période. Et en gros il arrive que le cerveau se dévore. Certains effets se manifestent en à peine une semaine sous la forme de tics, d'inflammations cutanées et d'hallucinations.
L'un d'eux a eu une rupture de la rate et a perdu tellement de sang qu'il ne lui restait littéralement plus rien à pomper, mais il a continué à s'agiter pendant trois minutes, jusqu'à l'effondrement de son corps. Les sujets restants ont été attachés et transportés dans un centre médical pour y être traités. Le premier à être opéré se battait si furieusement contre l'anesthésie qu'il se déchirait les muscles et se fracturait les os au cours de la lutte. Dès que l'anesthésique a pris effet, son cœur s'est arrêté et il est décédé. Le reste a été opéré sans sédation. Loin de ressentir la moindre douleur, cependant, ils ont ri hystériquement sur la table d'opération - si hystériquement que les médecins, craignant peut-être pour leur santé mentale, ont administré un agent paralytique pour les immobiliser. Après l'opération, on a demandé aux survivants pourquoi ils s'étaient mutilés et pourquoi ils voulaient désespérément revenir au gaz stimulant. Chacun, à son tour, a donné la même réponse énigmatique: "Je dois rester éveillé. "
Le comportement des sujets plus calmes, tout aussi déconcertants, a commencé à déchirer les livres qu'on leur avait donné à lire, en maculant les pages avec des excréments et en les collant au-dessus des fenêtres à miroir afin que leurs actions ne puissent plus être observées. Puis, tout aussi soudainement, les hurlements cessèrent. Les sujets ont complètement cessé de communiquer. Trois jours se sont écoulés sans bruit venant de l'intérieur de la chambre. Craignant le pire, les chercheurs se sont adressés à eux par l'interphone. «Nous ouvrons la chambre pour tester les microphones. Éloignez-vous de la porte et allongez-vous sur le sol ou vous serez abattus. Le respect va gagner l'un de vous votre liberté immédiate. " Une voix de l'intérieur a répondu: "Nous ne voulons plus être libérés. " Deux jours de plus se passèrent sans contact d'aucune sorte pendant que les scientifiques discutaient de ce qu'il fallait faire ensuite. Finalement, ils ont décidé de mettre fin à l'expérience. Le quinzième jour, à minuit, le gaz stimulant a été chassé de la chambre et remplacé par de l'air frais en vue de la libération des sujets.
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