March 10 L'interconnexion de systèmes ouverts modèle de référence décrit sept couches d'interaction entre les ordinateurs communiquant sur un réseau. La deuxième couche la plus basse du modèle de référence OSI est connue comme la couche de liaison de données. Théoriquement, la couche de liaison de données est divisé en deux sous-couches, connues sous le nom logique de commande et de contrôle d'accès Media Link. Contrôle de liaison logique La couche LLC est la plus élevée des sous-couches de liaison de données et est responsable de la transmission des données entre les ordinateurs d'un réseau. LLC se réfère aux fonctions nécessaires pour établir et maintenir des liens logiques entre les ordinateurs. liens logiques déterminent la façon dont les ordinateurs connectés apparaissent aux utilisateurs du réseau, qui peuvent ne pas être la même que la façon dont ils sont effectivement connectés. La sous-couche LLC fournit des services à la couche réseau - la couche immédiatement au-dessus dans le modèle de référence OSI - et obscurcit le reste de la couche de liaison de données, de sorte que les technologies de réseau peuvent interagir de manière transparente avec les couches supérieures.
1. Rôle Masquer aux couches supérieures, elle permet d'établir un lien logique entre la couche MAC et la couche de niveau 3 du modèle OSI Les services de la sous-couche LLC sont accessibles à partir d'un point d'accès LSAP (Link Service Access Point) ou point d'accès au service de liaison. Ces points sont respectivement appelés DSAP pour la machine destination (Destination Service Access Point) et SSAP pour la machine Source (Source Service Access Point) général de la trame LLC SAP (Service Access Point) permet de désigner la (ou les) couche(s) supérieure(s) destinataire(s) (DSAP) et la couche supérieure émettrice (SSAP). Il permet également de faire cohabiter plusieurs protocoles sur une même interface réseau (IP/IPX/NETBIOS/X. 25/…) La couche LLC offre selon les besoins 3 types de services LLC1, LLC2 et LLC3 LLC 1 - Sans connexion - Sans acquittements Service sans connexion. Pas d'acquittement sur erreur, pas de contrôle de flux de données. Ce protocole implique qu'un contrôle d'intégrité du message soit fait dans l'une des couches supérieures (généralement en couche transport).
gigue (jitter): écart type du délai de remise des paquets (écart type du temps de trajet des paquets). Exercice 3:Les souscouche LLC et MAC Dans que contexte s'utilisent les primitives MA DATAREQUEST et LDATAREQUEST? (quelle est la couche utilisatrice, pour interagir avec quelle couche? ) - MA DATA REQUEST: proposée par la souscouche MAC et utilisée par la souscouche LLC -LDATAREQUEST: proposé par la couche liaison et utilisasé par la couche réseau. Exercice 4: Analyse de trames Ouvrir le fichier: Captures_cgtel 2\ Affichez ce fichier pour analyse. Dans cet exercice et dans les suivants, nous ne nous intéressons qu'à la couche liaison. Considérons la trame 2940: - Quel est l'acronyme de la fonction qu'elle réalise. Indiquez la signification des lettres de cet acronyme. trame non numérotée, ouverture de connexion, sambe Quelle action réalisetelle? imposetelle des contraintes? A qui? y atil une trame réponse? Laquelle? Considérons les trames 2942, 2943 quelle est la fonction de ces deux trames?
les entités (autres noeuds du réseau ou logiciels des couches hautes) auxquelles la machine réceptrice doit, à son tour, envoyer les trames ne sont pas en mesure elles-mêmes de les recevoir. Soit que la machine soit un noeud de transit (routeur) d'un réseau momentanément encombré. que les logiciels des couches hautes, notamment les applications, sont trop lentes pour le flux entrant. Dans la version LC 1 la liaison est dépourvue de contrôle de fux. C'est un avantage dans ce sens que l'on est dispensé de la lourde mise en place du dispositif de contrôle de flux et de la diminution de bande passante du réseau dûe aux messages de service qu'il implique. Dans la version LLC 2 un contrôle de flux robuste est mis en place. C'est une adaptation du célèbre protocole HDLC (High-level Data Link Control) dans sa version LAP B que nous vous invitons ici à revoir: HDLC & LAP B avant d'aborder les spécificités de LLC 2. Cadrage de trames Le but de l'opération est de repérer le début de chacune des trames dans un flot continu de vue transversale des diverses méthodes de cadrage pour l'ensemble des réseaux se trouve à la page "Synchronisation niveau trame" (Actuellement inactif) Applications Multiprotocoles - Points d'accès au service - LSAP - Sur une même machine peuvent "tourner" des applications différentes ayant recours à des couches réseau différentes.
Réseaux Ethernet standard, par exemple, utilisent une technique connue sous le nom Transporteur Sense Multiple Access /Collision Detection, pour surveiller le trafic sur le réseau et la force des ordinateurs pour retransmettre des données après un intervalle de temps aléatoire si une collision se produit. Photos architecture la couche de liaison de données est conceptuellement divisé en deux sous-couches pour s'adapter à l'architecture décrite par un institut des ingénieurs en électricité et électronique groupe, connu sous le nom de projet IEEE 802, travail qui établit des normes pour de nombreuses technologies de réseautage. La séparation nominale de la LLC et MAC, il est plus facile de spécifier et mettre en œuvre l'interopérabilité entre les technologies de réseautage.
Considérons les trames 2940 à 2943 décrivez les positions et les évolutions des numéros de compteurs et des indicateurs (flags) de part et d'autre Considérons les trames 2944 à 2947 décrivez l'échange représenté par ces trames (trames, ack,... ) Considérons les trames 2948 à 2955 décrivez l'échange représenté par ces trames (trames, ack,... ) en précisant l'évolution des compteurs, les indicateurs et ce qu'il en résulte. Comparez le couple de trames 2954/2955 avec le couple 2957/2958. A quelle trame la trame 2963 répondelle? Justifiez votre réponse. Considérons la trame 2948: quel est son délai d'acheminement? cette trame atil été reçue?
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