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Scène 2 Trivelin n'avoue rien devant les doutes exprimés par Lélio. Le valet mène le dialogue et conduit Lélio à la colère. Scène 3 Lélio et le le Chevalier se retrouvent en tête-à-tête. Lélio tente par tous les moyens de démasquer le Chevalier mais la fausse suivante y voit clair dans son jeu et ne se laisse pas abuser. Marivaux la fausse suivante analyse et. Elle campe son rôle d'homme et, en fin de scène, Lélio est obligé de conclure "Je me suis, ma foi, trompé; c'est un cavalier, et des plus résolus. ". Il avoue même avoir cru que le Chevalier était une femme. Scène 4 Arlequin les rejoint sur scène et dévoile en présence de Lélio que le chevalier est une femme. Scène 5 Seule à nouveau face à Lélio, la Demoiselle avoue finalement son sexe:" Je suis fille, assez jolie, comme vous voyez, et dont les agréments seront de quelque durée, si je trouve un mari qui me sauve le désert et le terme des quinze jours; voilà ce que je suis, et, par-dessus le marché, presque aussi méchante que vous. " Elle continue cependant de se dissimuler derrière sa deuxième fausse identité: elle affirme la suivante de la maîtresse dont Lélio voulait abuser.

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Est-il besoin d'aimer sa femme, si tu ne l'aimes pas, tant pis pour elle, ce sont ses affaires, et non pas les tiennes. » il poses se principe comme on le remarque avec l'emploi du présent « il n'y a pas besoin d'aimer sa femme ». c'est un discours logique et structuré avec le conditionnel « si » (l26) il pose un autre principe: « quand on vit mal avec elle, cela vous dispense de la voir, c'est autant de gagné » ( l23-24) pour lui l'idéal dans le mariage c'est de ne pas s'aimer. Il inverse donc une fois de plus les valeurs. Ainsi donc par un cheminement logique et un discours en apparence plein de bon sens, Lélio révèle sa véritable vision sur le mariage qui n'est pas une histoire de cœur mais bien d'argent. La fausse suivante - 1057 Mots | Etudier. b) véritable moteur des choix de Lélio d'ordre pécunier Dans cet extrait on trouve deux occurrences au nombre « douze mille livres de rentes » ( l 34-35). la dame de paris qu'il ne sait pas avoir déjà rencontré va lui rapporté douze mille livres, dans une opération financière et c'est comme cela qu'il en parle.

L'adjectif indéfini « quelques » sert de moralisateur et rabaisse encore plus dorante qui ne se juge pas digne d'intéret. La rime interne « bien bien » révèle la pauvreté de Dorante rappelant que l'argent est un obstacle à l'épanouissement amoureux. Notons que les craintes de dorante s'exprime au future et non au conditionnel « fera, ferait » ce qui tend à montrer qu'il ne perd pas espoirs a quelques confiance dans le plan de Dubois Mais le spectateur n'ignore pas s'il est sincère ou seulement intéressé par l'argent d'araminte. La fausse suivante - Commentaire de texte - popo2001po. La reprise de "point de bien" par Dubois souligne l'alliance et la bonne entente entre le maitre et le valet. Dubois rassure Dorante avec enthousiasme et humour, il joue sur la polysémie du mot « mine », le visage séduisant de Dorante est un aubaine comparable aux lucratives exploitations de cuivres du Pérou. Cette expression montre que pour Dubois la beauté de Dorante est un atout décisif. Il invite Dorante a lui faire admirer sa beauté « tournez vous un peu », l'impératif peut surprendre de la part d'un valet, il souligne l'ascendant de dubois sur dorante qui le place en mettre du jeu.

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