Poésie L Ogre Et La Fée

est un service gratuit financé par la publicité. Pour nous aider et ne plus voir ce message: 1 Un (.... ) ogre des bois, natif de (... ), Brave / Moscovie Bon / Moldavie 2 Etait (... ) amoureux d'une (... ). Et l'envie Fort / fée Très / femme 3 Qu'il avait (... ) cette (... ) s'accrût De marier / fée D'épouser / dame est un service gratuit financé par la publicité. 4 Au point de (... ) ce pauvre coeur tout brut. Rendre fou Rendre bête 5 L'ogre, (... ), peigne sa peau velue, Un beau soir d'hiver Un beau matin d'hiver 6 Se présente (... ), et salue, Au lever de la dame Au palais de la fée 7 Et s'annonce (... ), comme (... ) Ogrouski. Au valet / Duc à l'huissier / Prince 8 La (... ) avait un fils, on ne sait pas (... ) Dame / pourquoi Fée / de qui 9 Elle était, (... ) sortie, et quant au (... ), Ce jour-là / mioche Par hasard / marmot 10 Bel (... ) blond nourri de crème et de (... ), Angelot / gâteau Enfant / brioche 11 Il était sous (... ) et jouait (... ). La porte / au cerceau Le porche / aux anneaux 12 On (... ) l'ogre et lui tout seuls dans (... ), Laissa / l'antichambre Mena / le jardin 13 Comment (... )le temps quand (... ) en décembre, Tuer / il pleut Passer / il neige 14 Et quand on a (... ) avec qui dire un mot?

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La fée n'est pas sûre que ce sont ses chaussettes mais elle dit: « Je veux bien vous aider parce que vous êtes beaux et braves. » Alors la fée ouvrit un portail entre le passé et le futur. Le chevalier entra par le portail. Il vit ses chaussettes, prit son élan et sauta. Il combattit l'ogre qui gardait ses chaussettes. Le portail resta ouvert pendant vingt minutes chevalier sauta dedans et lui dit: « Tu es mort l'ogre! » Alors, le chevalier prit son épée et donna un grand coup d'épée, prit ses chaussettes puis alla délivrer la princesse. Conclusion: ne laissez jamais traîner vos affaires!

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Petite fable affable Un gros ogre assis dans sa grotte grognait Et grinçait de tant souffrir de la mâchoire. Or un croquant passa alors qu'il geignait De vivre un enfer inconnu des grimoires. Et ce pauvre bougre grondant, notre errant Lui proposa de le soulager très vite Du grand mal rongeant ses chicots. Sidérant! Mieux, que ça soit carie ou gingivite, Lui, il connaissait un remède parfait Qui ne lui coûterait, vrai!, pas un centime. Mais il devait rester secret car la fée De qui il le tenait, chose légitime, L'a exigé ainsi! … C'était là son goinfre éploré le crut sur parole Et il accepta tout sans discussion Car l'Insupportable, hélas: ce n'est pas drôle! … Donc, le manant, sans précipitation L'aveugla d'abord, lui bandant les yeux, Et quand il fut sûr que le cavernicole N'y voyait mie, lui brisa, geste odieux, Le râtelier, sans autre protocole… Rougi, l'ogre rugit, brisant les tympans De la nuit mais le chemineau rapide Avait fui en criant, vil chenapan, À l'édenté: « Souviens-toi là, stupide Gros tas, de mes fils que tu gobas en combe: Nos vieux péchés faisant de longues ombres, Le passé s'invite hélas toujours un jour À notre tablée avant que l'on ne sombre Dans la nuit de notre tout dernier jour.

» © Christian Satgé – octobre 2016 Christian Satgé (834) Obsédé textuel & rimeur solidaire, (af)fabuliste à césure… voire plus tard, je rêve de donner du sens aux sons comme des sons aux sens. « Méchant écriveur de lignes inégales », je stance, en effet et pour toute cause, à tout propos, essayant de trouver un équilibre entre "le beau", "le bon" et "le bien", en attendant la cata'strophe finale. Plus "humeuriste" qu'humoriste, pas vraiment poétiquement correct, j'ai vu le jour dans la « ville rosse » deux ans avant que Cl. Nougaro ne l'(en)chante. Après avoir roulé ma bosse plus que carrosse, je vis caché dans ce muscle frontalier de bien des lieux que l'on nomme Pyrénées où l'on ne trouve pire aîné que montagnard.

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