L Administration Et Le Pouvoir Politique

La théorie de la séparation des pouvoirs tend à instituer des contre-pouvoirs. Ex: les Assemblées. Politiques: ce sont les partis politiques qui disposent d'une liberté d'action, la presse écrite quant à elle est indépendante du pouvoir, les médias audiovisuels quand ils ne relèvent pas du monopole de l'Etat. Sociaux: ce sont les forces économiques et sociales (ex: syndicats), les forces militaires, les forces spirituelles (ex: Eglise). Leur rôle de contre-pouvoir est exceptionnel. 3/ Les rapports entre pouvoir politique, institutions et droit Le pouvoir politique constitue la source des institutions et du droit. C'est lui qui établit les organes exerçant le commandement et en assure le fonctionnement, il édicte les normes et prévoit leurs sanctions. Mais le pouvoir politique doit respecter les institutions et se soumettre au droit. Et il doit respecter les règles édictées pour toute modification. Ex: la révision de la Constitution. C'est la garantie d'un Etat de droit. L'Etat de droit est plus facile à faire respecter dans les régimes pluralistes car les pouvoirs sont croisés que dans les régimes où le pouvoir est centralisé.

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Il peut chercher à promouvoir une évolution des lois ou des changements politiques qui leur sont favorables ou à les empêcher s'ils leur sont défavorables. Le groupe de pression peut prendre la forme d'une organisation structurée qui cherche à influencer les décideurs politiques. Il se différencie des partis politiques dans la mesure où il…. 838 mots | 4 pages Le pouvoir politique - Introduction Au niveau juridique - Le pouvoir est l'aptitude légale à exercer une compétence - La notion se confond avec celles de légitimité et de légalité. - La compétence est une attribution. Elle est liée ("compétence liée) quand celui qui la détient n'a aucune liberté d'action, aucune marge de manoeuvre. Elle est au contraire discrétionnaire ("compétence discrétionnaire") quand le bénéficiaire conserve et détient une marge d'appréciation. - L'exercice de la compétence…. Politique pouvoir 4183 mots | 17 pages D'abord, qu'est-ce que la politique? C'est-à-dire, la politique en tant que fait. La politique est une activité en relation avec le pouvoir.

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La fonctionnarisation du pouvoir politique: La pénétration. L'Administration n'étant pas un milieu homogène se compose de hauts fonctionnaires et de fonctionnaires. ] L'Administration est aussi subordonnée au contrôle parlementaire. Subordination de l'Administration par le contrôle parlementaire. Ici l'on doit considérer selon que l'on se trouve en régime présidentialiste et en régime présidentiel. En régime présidentialiste, le Président de la république est protégé au même titre que les autres membres du gouvernement et toutes les décisions prises par celui-ci sont appliqués avec ferveur aux membres du gouvernement ils bénéficient tous du même statut de connexion. Ce qui n'est pas le cas en régime présidentiel. ] La politisation de l'Administration: l'osmose. Comme on le disait si haut, l'Administration et le pouvoir politique sont toujours en relation d'interdépendance ce qui n'a rien avoir avec la vision instrumentale de l'Administration au profit du pouvoir politique. L'osmose traduisant un mouvement de va et vient d'un pays à un autre.

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A cet égard, et face aux mutations vécues et que vit notre pays, l'administration Tunisienne est tenue de changer des pratiques et d'éthique, elle est dans l'obligation d'installer un système des valeurs mais aussi et surtout mettre en place une législation qui assure l'impartialité et la neutralité de l'administration tout en protégeant le fonctionnaire de l'Etat. Cette question devient d'autant plus cruciale lorsqu' on prend en considération l'existence, au sein de l'administration, des classes antagonistes pouvant mettre en péril la rationalité de l'État pénétré lui-même, et malgré lui, par les conflits sociaux et politiques. Comment peut-on situer l'administration en dehors des conflits politiques et sociaux et faire en sorte qu'elle ne s'identifie qu'à ses fonctions? Quelles sont les garanties juridiques de la neutralité de l'administration et de l'indépendance des fonctionnaires? La réponse à cette dernière question demeure décisive, notamment lorsque on sait que la construction de l'administration est marquée par une part de contingence et d'incertitude structurelle, où s'engouffrent des relations de pouvoir informelles, non légales, et donc non légitimes, mais qui affectent les règles de fonctionnement administratifs et décident conséquemment de la nature de l'intérêt à servir: l'intérêt général ou l'intérêt d'un groupe.

Un autre aspect important est celui des relations entre les ministres et les directeurs d'administration centrale: qui est le vrai « patron » de l'administration? La distinction entre directions axées sur la gestion de service et directions stratégiques permettrait-elle une meilleure gestion des relations avec le politique? Comment responsabiliser les hauts fonctionnaires sur leurs résultats et renforcer ainsi la confiance que leur accorde le politique? Est-ce seulement possible dans le système actuel? Dans cette perspective, le Club Penser et Agir a choisi d'auditionner trois personnalités: Pascal Penaud, inspecteur général des affaires sociales; Jacques Rapoport, secrétaire général des ministères en charge des Affaires sociales; Marcel Pochard, conseiller d'Etat. Le Club Penser et Agir animé par Sylvie Trosa, expert en management public, entend réunir tous les acteurs intéressés à la modernisation des pratiques publiques; ses travaux s'appuieront largement sur l'analyse des expériences conduites hors de France.

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