"Les dispositions devaient être prises par l'État du Sénégal pour sensibiliser les citoyens sur les mécanismes et procédures d'inscription sur les listes électorales", se désole Aliou Sané...
Le Collectif rappelle à l'État du Sénégal qu'il est tenu de se conformer strictement au respect de la Constitution et des traités internationaux qui garantissent les droits de Karim Wade, violés par les autorités de son pays depuis 2012. Sur ce, les avocats de Wade fils demande à l'Etat du Sénégal «de procéder sans délai à la réinscription de Karim Wade sur les listes électorales et réaffirme sa détermination à faire réviser son procès, comme l'exigent le Comité des droits de l'homme des Nations Unies ainsi que de nombreuses organisations qui agissent pour la défense des droits de l'homme et le respect des libertés et de la démocratie au Sénégal».
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