Un Matin D Octobre Episode

05/10/2007, 13h58 #1 Membre Un matin d'octobre Exifs: Canon ( EOS 40D) | 55mm | 1/320s | f/11 | ISO 200 Vos avis sont les bienvenus. Jacques Dusat 05/10/2007, 14h28 #2 très sympa, dommage que les trainées avions nous gâche les ciel 05/10/2007, 14h33 #3 05/10/2007, 17h36 #4 bonjour, Jacques Dusat j'accroche sur la photo! +1 pour les trainées ce qui me gene ce sont les pylones electrique 05/10/2007, 20h42 #5 Merci pour vos commentaires, Pour Manu, j'ai pas pu les enlever, les pylones:blink:. J'ai eu 5 minutes, au lever du lit:p, pour sortir et saisir l'instant, après le soleil était levé, c'était trop tard. Merci à vous 06/10/2007, 06h38 #6 Pareil que les autres: +1 pour les traînées d'avion! Le ciel eut été un peu vide sinon... Dommage en effet pour les pylones. Bravo pour avoir chopé l'appareil en voyant le ciel. Moi c'est pareil, la première chose que je fais en me levant, c'est regarder dehors! Amitiés, Erwan. Informations de la discussion Utilisateur(s) sur cette discussion Il y a actuellement 1 utilisateur(s) naviguant sur cette discussion.

  1. Un matin d octobre 2016

Un Matin D Octobre 2016

Auteure des photos sur cette page: MaRGaRiDa "" Un Matin d'Octobre! Calliope fut elle n'est plus. Tous les Dieux sont partis, sans nous laisser une adresse. Le matin est fade, et cela nous fatigue. Ce n'est pas la pluie, c'est peut-être l'air –invisible- qui nous tiraille ici. Déshabillés les arbres ne prononcent un seul mot. Illisibles les heures, en ce jour d'Automne. Tout le monde veut savoir, ce qu'on leur cache dans des poches d'eau. Mais personne n'en parle, sur les parvis des jours. Le ciel assombri a la peau fragile. Il ne veut plus entendre, nos cris et blessures quand la tristesse monte, comme une mer coléreuse. Alors personne ne chante, comme le poète l'a fait. Et nul ne fredonne un poème à l'Automne… Calliope fut elle n'est plus. Rosario Duarte da Costa Copyright 04/11/2011

La mort n'était pas à craindre, on ne pouvait pas la rencontrer. Quand j'étais là, la mort n'était pas là et quand la mort était là, je n'étais plus là. Il n'y avait aucun jugement après la mort, les atomes de mon corps reprenaient leur course infinie et pensée et sensation disparaissaient. Julia resta songeuse devant sa péroraison: ce qu'il venait de lui dire serait dit des milliers de fois, car dans l'univers infini, des atomes retrouveraient la même configuration. Admirative, Julia dit: « Ton père a raison: tu perds ton temps à Pompéi. Tu devrais, comme lui, aller à Rome et devenir avocat. — Je vais mourir avant, si ce fichu cuisinier ne m'apporte pas ce repas. — Tu peux attendre longtemps, répliqua la jeune fille en riant. C'est Madame qui donne les ordres au cuisinier. Comme elle est malade, rien n'est prêt! — Quel idiot! Je le ferai fouetter! Julia, sauve-moi! » Julia courut vers la boulangerie de Modestus. Elle ne prêta aucune attention aux meules en pierre volcanique et s'adressa au préposé qui enfournait le pain: « Mon maître a faim!

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