Quelle position revendique-t-il pour lui-même? Rédigez un paragraphe argumenté d'une quinzaine de lignes pour expliquer ce que La Bruyère reproche aux « partisans » surnommés ironiquement des « PTS » Lecture guidée du livre VII: « De la Ville » La comédie sociale (fragments 1 à 3) Relevez dans ces 3 fragments le champ lexical de la vue. En quoi ces femmes se donnent-elles en spectacle dans le fragment 3? Quelle est l'attitude du public? La comédie sociale (fragments 5 à 7) Quelle est la cible de La Bruyère dans ces remarques? Les Caractères Jean de La Bruyère : fiche et résumé | SchoolMouv. Quels sont les principaux défauts de cette caste? La ville, singe de la cour (fragments 9, 10, 11, 15, 16) A quelle catégorie sociale les Crispins, les Sannions et les « femmes de la ville » appartiennent-ils? A qui veulent-ils ressembler? Comment les Sannions s'y prennent-ils pour y parvenir? Relevez sans les fragments 15 et 16 le lexique de l'imitation. Montrez dans un paragraphe argumenté que les gens de la ville ne s'intéressent qu'aux apparences. Lecture guidée du livre VIII: « De la Cour » Reliez chaque personnage au défaut qui le caractérise dans son portrait: Théonas Le noble provincial, réalisant son rêve d'être courtisan à Versailles.
Chapitre VIII: De la cour 101 remarques L'essentiel du chapitre se concentre sur le portrait stéréotypé du parfait courtisan. La cour est un lieu où l'on vit en autarcie, à part, où chacun ne pense qu'à son intérêt propre, à paraître et à dissimuler. Les courtisans sont en général prêts à tout pour obtenir des faveurs. Le seul moyen de bien vivre est donc de fuir la cour. Carnets de lecture sur les caractères de La Bruyère - Compte rendu - raph.mtg. Chapitre IX: Des grands 56 remarques Le chapitre peint des portraits de la noblesse d'épée, qui se distinguent dans la foule des courtisans. Les grands sont vaniteux, alors qu'ils ne sont pas nécessairement cultivés. Ils méprisent les autres bien que leur reconnaissance sociale soit due à leur naissance, et non à leur valeur propre, le mérite personnel qu'ils n'ont pas acquis. Néanmoins, ils ont une utilité historique de par leur lignée. Chapitre X:Du souverain ou de la République 35 remarques Le meilleur des gouvernements n'existe pas. La Bruyères s'imagine la solitude que ressent un souverain puis condamne les guerres et les invasions.
On peut avancer les preuves de l'harmonie de l'univers, de notre aspiration à l'infini et du principe spirituel de notre pensée qui se distingue de la matière.? le respect du bon gout dominant, la mise en avant de valeurs qu'on estime éternelles: l'imitation de la nature; la raison, l'ordre et l'équilibre; la clarté de l'expression. Les artistes et écrivains sont dès lors soumis à toutes sortes de règles à respecter établies par des Académies;
L'Homme se ridiculise en suivant ses fantaisies. Chapitre XIV: De quelques usages 73 remarques Selon La Bruyère, les usages et les coutumes, qu'ils soient sociaux, religieux ou familiaux, sont artificiels et complexifient, voire entravent, les relations humaines. Chapitre XV: De la chaire 30 remarques La Bruyère critique l'oralité de certains prédicateurs chrétiens qui sont démesurément éloquents et s'enorgueillissent de leur rhétorique. Ils devraient prêcher plus simplement afin d'être, au moins, compris par l'assemblée. Chapitre XVI: Des esprits forts 50 remarques La Bruyère affirme sa croyance en Dieu et dénonce les impies, les esprits faibles qui nient Dieu et l'âme. La Bruyère, Les Caractères, 1688 – Petit parcours de lecture - Cours - yenaa. Notre pensé, immatérielle et insaisissable, est la preuve de notre spiritualité.
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